Le vent de Jacques Dutronc

Jacques Dutronc et Françoise Hardy lors d'une soirée à Paris © DALMAS/SIPA
S'ils ont formé tous les deux l'un des couples les plus mythiques de l'histoire de la musique française, leurs débuts ont été quelques peu hésitants. "Il n'y a pas beaucoup d'hommes qui m'attirent. Et si un homme m'attire je suis littéralement paralysée", confiait Françoise Hardy dans le documentaire Tant de Belles Choses. D'ailleurs, la chanteuse a d'abord demandé à Jacques Dutronc s'il accepterait d'être son guitariste en 1965. Une offre que ce dernier a déclinée. "Il a été très fuyant, comme il l'a toujours été par la suite. Puis j'en suis arrivée au point où j'étais désespérée, j'avais l'impression qu'il éprouvait une attirance pour moi, mais que rien ne se passerait", raconte-t-elle. De son côté, Jacques Dutronc évoque une sorte de complexe d'infériorité qui l'empêche au début de sauter le pas.
S'ils ont formé tous les deux l'un des couples les plus mythiques de l'histoire de la musique française, leurs débuts ont été quelques peu hésitants. "Il n'y a pas beaucoup d'hommes qui m'attirent. Et si un homme m'attire je suis littéralement paralysée", confiait Françoise Hardy dans le documentaire Tant de Belles Choses. D'ailleurs, la chanteuse a d'abord demandé à Jacques Dutronc s'il accepterait d'être son guitariste en 1965. Une offre que ce dernier a déclinée. "Il a été très fuyant, comme il l'a toujours été par la suite. Puis j'en suis arrivée au point où j'étais désespérée, j'avais l'impression qu'il éprouvait une attirance pour moi, mais que rien ne se passerait", raconte-t-elle. De son côté, Jacques Dutronc évoque une sorte de complexe d'infériorité qui l'empêche au début de sauter le pas.
© DALMAS/SIPA