Des insultes racistes dures à encaisser

Mario Balotelli et Nicolas Spolli, en 2013. © Carmelo Imbesi/AP/SIPA
Mario Balotelli a dû faire face, tout au long de sa carrière, à des provocations racistes qu'il a souvent eu du mal à dépasser. En 2010, lors d'un match entre l'Inter Milan et la Juventus Turin, une partie des supporters turinois crie " il n'y a pas d'Italien noir" dans les tribunes.

Balotelli devra également affronter à de nombreuses reprises les jets de banane ou des cris de singe de la part des supporters adverses. Exaspéré, il déclare même avant l'Euro  2012 : "Si quelqu'un en Pologne ou en Ukraine devait me jeter une banane à la tête, je le tuerais. Je suis prêt à aller en prison. Le racisme est inacceptable et je ne suis pas prêt à le supporter".

En décembre 2013, l'attaquant accusera également un joueur de Catane, Nicolas Spolli, de l'avoir traité de "noir de merde". 
Mario Balotelli a dû faire face, tout au long de sa carrière, à des provocations racistes qu'il a souvent eu du mal à dépasser. En 2010, lors d'un match entre l'Inter Milan et la Juventus Turin, une partie des supporters turinois crie " il n'y a pas d'Italien noir" dans les tribunes. Balotelli devra également affronter à de nombreuses reprises les jets de banane ou des cris de singe de la part des supporters adverses. Exaspéré, il déclare même avant l'Euro  2012 : "Si quelqu'un en Pologne ou en Ukraine devait me jeter une banane à la tête, je le tuerais. Je suis prêt à aller en prison. Le racisme est inacceptable et je ne suis pas prêt à le supporter". En décembre 2013, l'attaquant accusera également un joueur de Catane, Nicolas Spolli, de l'avoir traité de "noir de merde". 
© Carmelo Imbesi/AP/SIPA