Un sport d'équilibre et de coordination

L'aviron réclame de la coordination et de la synchronisation. © L'Internaute Magazine / Marie Bruggeman

Plus que la force, c'est la coordination qui est importante dans ce sport. Les bras et les jambes doivent pousser en même temps et de manière symétrique.

La tâche se complique dès lors que l'opération est réalisée simultanément par plusieurs coéquipiers, embarqués sur le même bateau. En équipage, la synchronisation se doit d'être parfaite pour que la poussée soit maximale. C'est le rôle du barreur, véritable chef d'orchestre. Placé à l'avant du bateau, face aux rameurs, il veille à la coordination de tous ses partenaires.

Autre qualité requise : l'équilibre, bien sûr. Tenir sur un bateau de 50 cm de large en exerçant une poussée maximale avec ses bras et jambes, cela s'apprend. Sur un bateau aussi instable, la précision est primordiale. Pas le droit à l'erreur donc, sinon c'est tout l'équipage qui se retrouve à l'eau !

Plus que la force, c'est la coordination qui est importante dans ce sport. Les bras et les jambes doivent pousser en même temps et de manière symétrique. La tâche se complique dès lors que l'opération est réalisée simultanément par plusieurs coéquipiers, embarqués sur le même bateau. En équipage, la synchronisation se doit d'être parfaite pour que la poussée soit maximale. C'est le rôle du barreur, véritable chef d'orchestre. Placé à l'avant du bateau, face aux rameurs, il veille à la coordination de tous ses partenaires. Autre qualité requise : l'équilibre, bien sûr. Tenir sur un bateau de 50 cm de large en exerçant une poussée maximale avec ses bras et jambes, cela s'apprend. Sur un bateau aussi instable, la précision est primordiale. Pas le droit à l'erreur donc, sinon c'est tout l'équipage qui se retrouve à l'eau !
© L'Internaute Magazine / Marie Bruggeman