Jo-Wilfried Tsonga et les balles qui volent

Jo-Wilfried Tsonga. © Shuji Kajiyama/AP/SIPA
Grosse déception en janvier 2012 pour Jo-Wilfried Tsonga, battu en cinq sets (2-6, 6-2, 6-1, 3-6, 6-3) par le Japonais Kei Nishikori, en huitième de finale de l'Open d'Australie. Après le match, le Français semble d'ailleurs avoir du mal à comprendre la défaite et va même jusqu'à mettre en cause les balles.

"Je n'arrivais plus à en mettre une dans le terrain parce qu'elles volaient alors que, quand elles étaient grosses comme à la fin du quatrième, je pouvais rentrer dedans, déclare-t-il. J'avais des hauts et des bas en termes de contrôle. Dès qu'il y avait des balles neuves, je n'arrivais plus à mettre la balle dans le terrain".
Grosse déception en janvier 2012 pour Jo-Wilfried Tsonga, battu en cinq sets (2-6, 6-2, 6-1, 3-6, 6-3) par le Japonais Kei Nishikori, en huitième de finale de l'Open d'Australie. Après le match, le Français semble d'ailleurs avoir du mal à comprendre la défaite et va même jusqu'à mettre en cause les balles. "Je n'arrivais plus à en mettre une dans le terrain parce qu'elles volaient alors que, quand elles étaient grosses comme à la fin du quatrième, je pouvais rentrer dedans, déclare-t-il. J'avais des hauts et des bas en termes de contrôle. Dès qu'il y avait des balles neuves, je n'arrivais plus à mettre la balle dans le terrain".
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