Kate Winslet (Oscars 2009)

Kate Winslet distinguée pour The Reader © Mark J. Terrill/AP/SIPA
C'est en 2009, après avoir été six fois nommée, que Kate Winslet reçut enfin le premier Oscar de sa carrière grâce à sa prestation dans The Reader, un film réalisé par Stephen Daldry. Bouleversée, l'actrice britannique s'est illustrée par son discours, à la fois touchant, drôle et émouvant. "Ça serait mentir de dire que je n'avais pas déjà imaginé ce discours. J'avais environ huit ans, j'étais devant le miroir de la salle de bain et cette statuette était représentée par une bouteille de shampoing. Mais ce n'en est plus une maintenant. Je me sens privilégiée d'avoir été récompensée ce soir. Merci à mes parents qui sont quelque part dans cette salle. Papa, siffle, car je ne sais pas où tu es." Ce que n'a pas manqué de faire son père sous les rires de l'assistance. "Je veux saluer aussi ces déesses avec qui j'étais nommée. Je crois que l'on est toutes surprises d'être dans la catégorie de Meryl Streep. Je suis désolée Meryl, mais il va falloir que tu prennes sur toi, a-t-elle plaisanté.
C'est en 2009, après avoir été six fois nommée, que Kate Winslet reçut enfin le premier Oscar de sa carrière grâce à sa prestation dans The Reader, un film réalisé par Stephen Daldry. Bouleversée, l'actrice britannique s'est illustrée par son discours, à la fois touchant, drôle et émouvant. "Ça serait mentir de dire que je n'avais pas déjà imaginé ce discours. J'avais environ huit ans, j'étais devant le miroir de la salle de bain et cette statuette était représentée par une bouteille de shampoing. Mais ce n'en est plus une maintenant. Je me sens privilégiée d'avoir été récompensée ce soir. Merci à mes parents qui sont quelque part dans cette salle. Papa, siffle, car je ne sais pas où tu es." Ce que n'a pas manqué de faire son père sous les rires de l'assistance. "Je veux saluer aussi ces déesses avec qui j'étais nommée. Je crois que l'on est toutes surprises d'être dans la catégorie de Meryl Streep. Je suis désolée Meryl, mais il va falloir que tu prennes sur toi, a-t-elle plaisanté.
© Mark J. Terrill/AP/SIPA