Des débits internets survendus

La qualité du service en fonction de l'endroit où habite le consommateur ne lui est souvent pas communiquée. © MYCHELE DANIAU / AFP
En décembre 2013, un déficit d'information des consommateurs sur les offres d'accès à l'internet fixe a incité Benoît Hamon - alors ministre délégué chargé de l’Économie sociale et solidaire et de la Consommation - et Fleur Pellerin - à l'époque ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’innovation et de l’Économie numérique - à prendre un arrêté ministériel. En cause, un réel problème de transparence vis-à-vis des consommateurs sur des offres commerciales "dont la communication publicitaire ne permet pas toujours d’apprécier ce que sera le débit réel de leur futur accès internet." L'arrêté ministériel a depuis pris effet, obligeant les opérateurs à délivrer toutes les informations aux consommateurs avant la souscription d'une nouvelle offre (autrement dit dès le stade où ils lisent les pubs). Notamment concernant la qualité du service à l'endroit où ils habitent ...
En décembre 2013, un déficit d'information des consommateurs sur les offres d'accès à l'internet fixe a incité Benoît Hamon - alors ministre délégué chargé de l’Économie sociale et solidaire et de la Consommation - et Fleur Pellerin - à l'époque ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’innovation et de l’Économie numérique - à prendre un arrêté ministériel. En cause, un réel problème de transparence vis-à-vis des consommateurs sur des offres commerciales "dont la communication publicitaire ne permet pas toujours d’apprécier ce que sera le débit réel de leur futur accès internet." L'arrêté ministériel a depuis pris effet, obligeant les opérateurs à délivrer toutes les informations aux consommateurs avant la souscription d'une nouvelle offre (autrement dit dès le stade où ils lisent les pubs). Notamment concernant la qualité du service à l'endroit où ils habitent ...
© MYCHELE DANIAU / AFP