Le grand n’importe quoi du "fait-maison"

Des produits simplement réchauffés sur place sont qualifiés de "fait-maison" par les restaurateurs. © atm2003 / Fotolia
Concernant la loyauté des informations affichées sur les menus des restaurants, un rapport du Sénat de 2003 pointe des "abus d'appellation valorisante" dans quatre restaurants sur dix examinés par la DGCCRF. Parmi ces mentions mensongères, celle de "maison" ou "du chef" alors que des produits déjà confectionnés à l'extérieur sont simplement assemblés et/ou réchauffés sur place. En cas de fraude, les sanctions vont jusqu'à 300 000 euros d'amende ou deux ans de prison, "et jusqu'à 10% du chiffre d'affaires s'il s'agit d'une personne morale" (statut d'une société). N.B. : pour lutter contre ces tromperies, un logo pédagogique spécial "fait maison" a été mis en place par le gouvernement à l'été 2014, peinant à convaindre de par sa rigidité.
Concernant la loyauté des informations affichées sur les menus des restaurants, un rapport du Sénat de 2003 pointe des "abus d'appellation valorisante" dans quatre restaurants sur dix examinés par la DGCCRF. Parmi ces mentions mensongères, celle de "maison" ou "du chef" alors que des produits déjà confectionnés à l'extérieur sont simplement assemblés et/ou réchauffés sur place. En cas de fraude, les sanctions vont jusqu'à 300 000 euros d'amende ou deux ans de prison, "et jusqu'à 10% du chiffre d'affaires s'il s'agit d'une personne morale" (statut d'une société). N.B. : pour lutter contre ces tromperies, un logo pédagogique spécial "fait maison" a été mis en place par le gouvernement à l'été 2014, peinant à convaindre de par sa rigidité.
© atm2003 / Fotolia