Dominique Bussereau en Charente-Maritime

Dominique Bussereau © Union européenne, 2011

Les résultats (27/03/2011)

Dominique Bussereau a dû passer par un second tour dans son propre canton mais a bien été réélu. Quant au département de Charente-Maritime, il reste à droite mais perd un siège. Les résultats

Le contexte (15/03/2011)

Dominique Bussereau était l'un des seuls ministres à souhaiter de son propre chef quitter le gouvernement lors du remaniement de novembre dernier. L'objectif pour l'ancien titulaire du ministère des Transports : se consacrer à son département, la Charente-Maritime, dont il est président depuis 2008. C'est dire si le représentant du canton de Royan, qui remet son poste en jeu en mars, compte sur son mandat départemental. Sa majorité n'est pourtant pas des plus confortables si on la compare à celle des autres présidents sortants. Deux sièges suffiraient en effet à la gauche pour faire basculer le département. Et le scrutin charentais sera d'autant plus observé qu'il s'inscrit dans un duel de plus en plus tendu entre le président de l'exécutif départemental et la présidente de la région, Ségolène Royal, qui compte bien s'appuyer sur sa stature locale pour la primaire socialiste.

Les résultats (27/03/2011) Dominique Bussereau a dû passer par un second tour dans son propre canton mais a bien été réélu. Quant au département de Charente-Maritime, il reste à droite mais perd un siège. Les résultatsLe contexte (15/03/2011) Dominique Bussereau était l'un des seuls ministres à souhaiter de son propre chef quitter le gouvernement lors du remaniement de novembre dernier. L'objectif pour l'ancien titulaire du ministère des Transports : se consacrer à son département, la Charente-Maritime, dont il est président depuis 2008. C'est dire si le représentant du canton de Royan, qui remet son poste en jeu en mars, compte sur son mandat départemental. Sa majorité n'est pourtant pas des plus confortables si on la compare à celle des autres présidents sortants. Deux sièges suffiraient en effet à la gauche pour faire basculer le département. Et le scrutin charentais sera d'autant plus observé qu'il s'inscrit dans un duel de plus en plus tendu entre le président de l'exécutif départemental et la présidente de la région, Ségolène Royal, qui compte bien s'appuyer sur sa stature locale pour la primaire socialiste.
© Union européenne, 2011