Arnaud Montebourg en Saône-et-Loire

Arnaud Montebourg © Cécile Debise/L'Internaute

 

Les résultats (27/03/2011)

Déjà largement dominatrice au premier tour, la gauche progresse en Saône-et-Loire avec deux cantons nouveaux pris sur la droite. Arnaud Montebourg conservera la présidence du département. Les résultats

Le contexte (15/03/2011)

Sa récente attaque contre Jean-Noël Guérini n'y est peut-être pas étrangère. A la tête du Conseil général de Saône-et-Loire depuis 2008, Arnaud Montebourg adopte un chemin parallèle à celui de François Hollande, comme le rappelait récemment Le Monde, et veut  faire des cantonales une étape décisive vers les primaires socialistes. Et il compte même sur une large victoire de la gauche locale en mars pour conforter sa position et poursuivre son "expérimentation" : gérer un exécutif local, avant, qui sait, avoir à gérer le pays. Pourfendeur du désengagement de l'Etat qu'il va jusqu'a poursuivre en justice, Arnaud Montebourg met en avant sa gestion même si, contraint à l'austérité, il avoue avoir été ces derniers mois "le Papandréou local". Un chef d'Etat (grec) dans l'adversité, mais un chef d'Etat tout de même.

  Les résultats (27/03/2011) Déjà largement dominatrice au premier tour, la gauche progresse en Saône-et-Loire avec deux cantons nouveaux pris sur la droite. Arnaud Montebourg conservera la présidence du département. Les résultats Le contexte (15/03/2011) Sa récente attaque contre Jean-Noël Guérini n'y est peut-être pas étrangère. A la tête du Conseil général de Saône-et-Loire depuis 2008, Arnaud Montebourg adopte un chemin parallèle à celui de François Hollande, comme le rappelait récemment Le Monde, et veut  faire des cantonales une étape décisive vers les primaires socialistes. Et il compte même sur une large victoire de la gauche locale en mars pour conforter sa position et poursuivre son "expérimentation" : gérer un exécutif local, avant, qui sait, avoir à gérer le pays. Pourfendeur du désengagement de l'Etat qu'il va jusqu'a poursuivre en justice, Arnaud Montebourg met en avant sa gestion même si, contraint à l'austérité, il avoue avoir été ces derniers mois "le Papandréou local". Un chef d'Etat (grec) dans l'adversité, mais un chef d'Etat tout de même.
© Cécile Debise/L'Internaute