Un "manque d'idées" chez François Hollande

François Hollande au soir de la défaite de 2007. © Cécile Debise, L'Internaute

La gauche n'est évidemment pas épargnée par les fuites de WikiLeaks. Un entretien en 2005 avec François Hollande, le premier secrétaire du PS, a par exemple étonné les diplomates américains. Sa vision "perspicace" des problèmes nationaux et internationaux a certes "impressionné" son auditoire, mais le constat est dur sur la réponse à y apporter : "Son manque de programme clair pour résoudre les difficultés socio-économiques en France ont laissé son audience dans le doute concernant ses capacités à être candidat", dit la note. L'ambassadeur des Etats-Unis à l'époque, Craig Stapleton, ne le voit pas candidat en 2007. "Hollande ne donne pas l'impression d'être un leader apportant un programme clair. Il a souvent été critiqué pour son manque de punch", continue-t-il. Outre sa carence pour "galvaniser" les foules, "ses commentaires se focalisent sur un diagnostique général sans jamais apporter de remèdes concrets", conclut-il.

La gauche n'est évidemment pas épargnée par les fuites de WikiLeaks. Un entretien en 2005 avec François Hollande, le premier secrétaire du PS, a par exemple étonné les diplomates américains. Sa vision "perspicace" des problèmes nationaux et internationaux a certes "impressionné" son auditoire, mais le constat est dur sur la réponse à y apporter : "Son manque de programme clair pour résoudre les difficultés socio-économiques en France ont laissé son audience dans le doute concernant ses capacités à être candidat", dit la note. L'ambassadeur des Etats-Unis à l'époque, Craig Stapleton, ne le voit pas candidat en 2007. "Hollande ne donne pas l'impression d'être un leader apportant un programme clair. Il a souvent été critiqué pour son manque de punch", continue-t-il. Outre sa carence pour "galvaniser" les foules, "ses commentaires se focalisent sur un diagnostique général sans jamais apporter de remèdes concrets", conclut-il.
© Cécile Debise, L'Internaute