Elle a refusé un photographe pas assez flatteur

Marine Le Pen a dit non à des photos "déformées" d'elle © AFP
Fin 2012, Marine Le Pen a refoulé un photographe de l'Agence France-Presse (AFP) aux images pas assez flatteuses, à l'entrée d'une conférence de presse tenue au siège du FN, à Nanterre. Une décision décrite par le Front national comme une sanction pour manque d'esthétisme, rapporte Le Monde. La directrice de cabinet de Mme Le Pen à l'époque, Charlotte Soula, a ainsi déclaré à l'AFP à propos de Marine Le Pen : "Vous vendez des photos d'elle qui sont aberrantes, tellement laides qu'elles frisent l'insulte". La principale intéressée a ajoutée que le photographe de l'AFP "déformait" ses photos pour mieux "les vendre". L'AFP a récusé "les accusations portées contre le photographe mis en cause auquel elle apporte tout son soutien". Et a souligné que ses photographes "appliquent comme tous les journalistes de l'agence les règles d'impartialité qui sont l'un des fondements de la mission de l'AFP".
Fin 2012, Marine Le Pen a refoulé un photographe de l'Agence France-Presse (AFP) aux images pas assez flatteuses, à l'entrée d'une conférence de presse tenue au siège du FN, à Nanterre. Une décision décrite par le Front national comme une sanction pour manque d'esthétisme, rapporte Le Monde. La directrice de cabinet de Mme Le Pen à l'époque, Charlotte Soula, a ainsi déclaré à l'AFP à propos de Marine Le Pen : "Vous vendez des photos d'elle qui sont aberrantes, tellement laides qu'elles frisent l'insulte". La principale intéressée a ajoutée que le photographe de l'AFP "déformait" ses photos pour mieux "les vendre". L'AFP a récusé "les accusations portées contre le photographe mis en cause auquel elle apporte tout son soutien". Et a souligné que ses photographes "appliquent comme tous les journalistes de l'agence les règles d'impartialité qui sont l'un des fondements de la mission de l'AFP".
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