Marine le Pen lui tend quand même la main...

Marion Maréchal et le candidat d'extrême droite à la présidentielle Eric Zemmour, lors d'un meeting à Toulon, le 6 mars 2022. © Jean-Francois Badias/AP/SIPA

Dans un entretien sur Youtube, le 20 février 2022, Marine Le Pen s'est confiée sur le comportement de l'ancienne députée du FN : "(...) effectivement ça touche à des (...) ressorts intimes, [ce] qui donne à cette situation une coloration qui n'est même plus une coloration politique", avant de conclure "Nous ne sommes pas en bons termes."

Le 6 mars, dans ce qu'elle a qualifié comme "peut-être", "la décision la plus difficile de [sa] vie", Marion Maréchal a officialisé son soutien à Eric Zemmour dans la course à l'Elysée, affirmant toutefois sur Bfmtv le 8 mars qu'elle voterait "sans hésitation" pour Marine Le Pen si celle-ci parvenait au second tour face à Emmanuel Macron. Quant à la candidate RN, elle a tendu la main à Marion Maréchal dans un entretien à l'agence de presse Reuters diffusé le 29 mars, dans lequel elle dit "espérer" que sa nièce "constatera qu'elle s'est trompée et reviendra combattre" avec elle. Mais dans la campagne présidentielle, Marine Le Pen a indiqué qu'elle ne la nommerait pas ministre en cas de victoire.

Dans un entretien sur Youtube, le 20 février 2022, Marine Le Pen s'est confiée sur le comportement de l'ancienne députée du FN : "(...) effectivement ça touche à des (...) ressorts intimes, [ce] qui donne à cette situation une coloration qui n'est même plus une coloration politique", avant de conclure "Nous ne sommes pas en bons termes." Le 6 mars, dans ce qu'elle a qualifié comme "peut-être", "la décision la plus difficile de [sa] vie", Marion Maréchal a officialisé son soutien à Eric Zemmour dans la course à l'Elysée, affirmant toutefois sur Bfmtv le 8 mars qu'elle voterait "sans hésitation" pour Marine Le Pen si celle-ci parvenait au second tour face à Emmanuel Macron. Quant à la candidate RN, elle a tendu la main à Marion Maréchal dans un entretien à l'agence de presse Reuters diffusé le 29 mars, dans lequel elle dit "espérer" que sa nièce "constatera qu'elle s'est trompée et reviendra combattre" avec elle. Mais dans la campagne présidentielle, Marine Le Pen a indiqué qu'elle ne la nommerait pas ministre en cas de victoire.
© Jean-Francois Badias/AP/SIPA