Cocktail de médicaments et "semi-coma"

"Calmants et somnifères vont faire l'effet d'une bombe" (ici, la façade de l'hôpital de la Salpêtrière) © BENJAMIN GAVAUDO / AFP
En 2015, selon l'auteur, le Président a été discrètement hospitalisé après l'absorption d'un mélange de médicaments : 
"Aujourd'hui, le président n'a pas faim, ce qui n'est pas bon signe. Il décide de s'allonger dans sa chambre pour essayer de trouver le sommeil. (...) Quelques minutes plus tard, le président dort à poings fermés, en apparence. Car, d'un sommeil profond, Jacques Chirac a sombré dans un semi-coma. On essaie de le réveiller, sans succès. (...) À la hâte, on décide de le transporter en urgence à l'hôpital de la Salpêtrière. Après examen, les médecins découvrent que Jacques Chirac a absorbé des médicaments antagonistes, dont le cocktail peut provoquer des dégâts irrémédiables. Calmants et somnifères vont faire l'effet d'une bombe. Le président est au plus mal. Mais une nouvelle fois, la vie a été plus forte... Jacques Chirac reste deux jours en observation et sortira discrètement, loin des objectifs des photographes. Aucune fuite n'est venue alerter les médias."
En 2015, selon l'auteur, le Président a été discrètement hospitalisé après l'absorption d'un mélange de médicaments :  "Aujourd'hui, le président n'a pas faim, ce qui n'est pas bon signe. Il décide de s'allonger dans sa chambre pour essayer de trouver le sommeil. (...) Quelques minutes plus tard, le président dort à poings fermés, en apparence. Car, d'un sommeil profond, Jacques Chirac a sombré dans un semi-coma. On essaie de le réveiller, sans succès. (...) À la hâte, on décide de le transporter en urgence à l'hôpital de la Salpêtrière. Après examen, les médecins découvrent que Jacques Chirac a absorbé des médicaments antagonistes, dont le cocktail peut provoquer des dégâts irrémédiables. Calmants et somnifères vont faire l'effet d'une bombe. Le président est au plus mal. Mais une nouvelle fois, la vie a été plus forte... Jacques Chirac reste deux jours en observation et sortira discrètement, loin des objectifs des photographes. Aucune fuite n'est venue alerter les médias."
© BENJAMIN GAVAUDO / AFP