Une prévention accrue

L'imam français Tareq Oubrou participe au projet expérimental du Centre d'Action et de Prévention. © Ugo Amez / SIPA
En janvier 2016, un Centre d'action et de prévention contre la radicalisation (CAPRI) a ouvert à Bordeaux. Objectif ? Mieux identifier et prendre en charge ceux qui sont en voie de radicalisation. Financé par l'Etat et les collectivités locales, le nouvel outil se veut un moyen de lutter contre la propagande djihadiste, et notamment auprès des jeunes. Depuis avril 2014, avant Charlie, un numéro vert d'assistance et d'orientation existe au niveau national : le 0800 005 696, lié au site stop-djihadisme.gouv.fr. Un formulaire de signalement est aussi disponible en ligne (ici) pour responsabiliser les proches.
En janvier 2016, un Centre d'action et de prévention contre la radicalisation (CAPRI) a ouvert à Bordeaux. Objectif ? Mieux identifier et prendre en charge ceux qui sont en voie de radicalisation. Financé par l'Etat et les collectivités locales, le nouvel outil se veut un moyen de lutter contre la propagande djihadiste, et notamment auprès des jeunes. Depuis avril 2014, avant Charlie, un numéro vert d'assistance et d'orientation existe au niveau national : le 0800 005 696, lié au site stop-djihadisme.gouv.fr. Un formulaire de signalement est aussi disponible en ligne (ici) pour responsabiliser les proches.
© Ugo Amez / SIPA