Notre peau est parfois ivre de sang

"Les vannes s'ouvrent et le sang afflue dans les vaisseaux cutanés." © stylephotographs / 123RF

A la manière d'une cocotte minute, la peau fait affluer le sang en cas de surchauffe pour évacuer la chaleur :

"Dans une atmosphère très chaude, celle d'un sauna par exemple, les thermorécepteurs de la peau tirent le signal d'alarme : "Attention, danger de surchauffe !" Les vannes s'ouvrent, le nerf parasympathique (nerf de la détente) dilate les vaisseaux sanguins et le sang afflue dans les vaisseaux cutanés. C'est ce qui nous fait rougir quand nous avons très chaud. (...) Notre corps peut ainsi évacuer de la chaleur vers l'extérieur, tandis que les glandes sudorales sont activées pour produire du froid par évaporation à la surface de la peau."

A la manière d'une cocotte minute, la peau fait affluer le sang en cas de surchauffe pour évacuer la chaleur : "Dans une atmosphère très chaude, celle d'un sauna par exemple, les thermorécepteurs de la peau tirent le signal d'alarme : "Attention, danger de surchauffe !" Les vannes s'ouvrent, le nerf parasympathique (nerf de la détente) dilate les vaisseaux sanguins et le sang afflue dans les vaisseaux cutanés. C'est ce qui nous fait rougir quand nous avons très chaud. (...) Notre corps peut ainsi évacuer de la chaleur vers l'extérieur, tandis que les glandes sudorales sont activées pour produire du froid par évaporation à la surface de la peau."
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