Deux fois plus d'automutilation et de tendances suicidaires

Image d'illustration. © Syda Productions / stock.adobe.com
D'après l'étude Santé LGBTI, rapportée par le Collectif intersexes et allié·e·s (CIA), une majorité relative de personnes intersexes interrogées disent s'être senties "plutôt pas bien" ou "pas bien" dès l'école primaire. C'est l'unique catégorie de l'étude à présenter cette situation. Deux fois plus de comportements d'automutilation et de tendances suicidaires sont recensés chez les adultes intersexes pathologisé·e·s* que parmi le reste de la population, rapporte le Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe. L'ONU estime que les personnes intersexes représentent environ 1,7% des naissances.

* traités comme des pathologies

D'après l'étude Santé LGBTI, rapportée par le Collectif intersexes et allié·e·s (CIA), une majorité relative de personnes intersexes interrogées disent s'être senties "plutôt pas bien" ou "pas bien" dès l'école primaire. C'est l'unique catégorie de l'étude à présenter cette situation. Deux fois plus de comportements d'automutilation et de tendances suicidaires sont recensés chez les adultes intersexes pathologisé·e·s* que parmi le reste de la population, rapporte le Commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe. L'ONU estime que les personnes intersexes représentent environ 1,7% des naissances. * traités comme des pathologies
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