En 2100... Au moins 300 millions de déplacés dans le monde

Déplacés climatiques après de lourdes pluies de mousson au Bangladesh, en juin 2017. © SUMAN PAULlZEPPELINE / SIPA
D'après une étude-référence de l'Onu sur le dérèglement climatique comportant un millier de pages, publiée le 25 septembre 2019 et réalisée par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), la montée des eaux risque d'avoir des effets dramatiques. Les océans pourraient ainsi devenir nos pires ennemis à l'échelle mondiale si les émissions de gaz à effet de serre sont insuffisamment freinées, alors qu'ils représentent à la base des sources de vie. Le rapport donne notamment un chiffre choc : la hausse du niveau des océans est susceptible, à terme, de déplacer 280 millions de personnes dans le monde. Pis, ce chiffre correspond à l'hypothèse optimiste d'un réchauffement climatique limité à +2°C par rapport à l'ère préindustrielle (1880-1899).
D'après une étude-référence de l'Onu sur le dérèglement climatique comportant un millier de pages, publiée le 25 septembre 2019 et réalisée par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), la montée des eaux risque d'avoir des effets dramatiques. Les océans pourraient ainsi devenir nos pires ennemis à l'échelle mondiale si les émissions de gaz à effet de serre sont insuffisamment freinées, alors qu'ils représentent à la base des sources de vie. Le rapport donne notamment un chiffre choc : la hausse du niveau des océans est susceptible, à terme, de déplacer 280 millions de personnes dans le monde. Pis, ce chiffre correspond à l'hypothèse optimiste d'un réchauffement climatique limité à +2°C par rapport à l'ère préindustrielle (1880-1899).
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