Y a-t-il d'autres cas de panique abusive ?

Un centre de régulation du Samu à Bordeaux. © UGO AMEZ / SIPA
Depuis que le nouveau coronavirus a atteint la France - six cas avaient été identifiés à la date du vendredi 31 janvier, et plusieurs centaines de personnes sont sous surveillance depuis le retour en France vendredi de quelque 200 expatriés qui vont rester confinés pendant deux semaines à Carry-le-Rouet -, la panique a envahi certains. A tel point que le Samu a reçu des appels de gens très angoissés à l'idée d'avoir potentiellement contracté le virus... pour des raisons que l'on qualifiera d'absurdes. "On n'appelle pas le 15 si on va au restaurant chinois. On n'appelle pas le 15 si on était Gare du Nord ou si on a été à Lille Europe et qu'on a croisé du monde. On n'appelle pas le 15 si on est chirurgien-dentiste et qu'on a des patients chinois qui sont pas allés en Chine depuis 10 ans", insiste ainsi Patrick Goldstein, chef du service des urgences et du Samu au CHU de Lille, interrogé par France 3.
Depuis que le nouveau coronavirus a atteint la France - six cas avaient été identifiés à la date du vendredi 31 janvier, et plusieurs centaines de personnes sont sous surveillance depuis le retour en France vendredi de quelque 200 expatriés qui vont rester confinés pendant deux semaines à Carry-le-Rouet -, la panique a envahi certains. A tel point que le Samu a reçu des appels de gens très angoissés à l'idée d'avoir potentiellement contracté le virus... pour des raisons que l'on qualifiera d'absurdes. "On n'appelle pas le 15 si on va au restaurant chinois. On n'appelle pas le 15 si on était Gare du Nord ou si on a été à Lille Europe et qu'on a croisé du monde. On n'appelle pas le 15 si on est chirurgien-dentiste et qu'on a des patients chinois qui sont pas allés en Chine depuis 10 ans", insiste ainsi Patrick Goldstein, chef du service des urgences et du Samu au CHU de Lille, interrogé par France 3.
© UGO AMEZ / SIPA