L'hameçonnage bancaire, une explosion en 2021

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Une quantité démentielle de cybercriminels ont tenté de surfer sur la mise en place de la directive européenne DSP2 l'an passé. L'objectif ? Mettre la main sur les identifiants de connexion, les numéros de compte et les mots de passe des utilisateurs. Et les malfaiteurs ont opéré un virage important en se tournant vers un pishing par MMS, au détriment du mail et même du SMS plus classique.

A titre d'exemple, les messages d'hameçonnage aux impôts ou à l'assurance maladie arrivent tous par ce biais là. Pourquoi ? C'est ce que nous explique Jean-Jacques Latour :
"Les messages sont beaucoup plus courts. Il y a moins de risques de fautes d'orthographe. Aussi, les gens ont davantage confiance en leur téléphone. Pour eux, si une personne a leur numéro de téléphone, c'est qu'elle le connaît".
Une quantité démentielle de cybercriminels ont tenté de surfer sur la mise en place de la directive européenne DSP2 l'an passé. L'objectif ? Mettre la main sur les identifiants de connexion, les numéros de compte et les mots de passe des utilisateurs. Et les malfaiteurs ont opéré un virage important en se tournant vers un pishing par MMS, au détriment du mail et même du SMS plus classique. A titre d'exemple, les messages d'hameçonnage aux impôts ou à l'assurance maladie arrivent tous par ce biais là. Pourquoi ? C'est ce que nous explique Jean-Jacques Latour : "Les messages sont beaucoup plus courts. Il y a moins de risques de fautes d'orthographe. Aussi, les gens ont davantage confiance en leur téléphone. Pour eux, si une personne a leur numéro de téléphone, c'est qu'elle le connaît".
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