Une peur bleue de l'erreur judiciaire pour les victimes

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Jean-Jacques Latour nous décrit l'envers du décors : "On peut imaginer que si des gens payent, c'est qu'ils ont quelque chose à se reprocher. Pas forcément. Chez CyberMalvaillance.gouv.fr nous avons échangé avec des victimes en panique totale qui avaient surtout peur de l'erreur judiciaire."

En effet, certaines personnes naviguent sur des sites pornographiques et n'ont pas forcément conscience de la présence de mineurs sur certaines séquences ou films, "notamment des seniors qui ont du mal à faire la différence" ajoute le responsable du site gouvernemental.

Les mails sont envoyés à des milliers de personnes, mais ce ne sont jamais les mêmes. C'est la technique dite du "broutage". Les adresses mail des victimes sont récupérées pour quelques dizaines d'euros sur le darkweb.
Jean-Jacques Latour nous décrit l'envers du décors : "On peut imaginer que si des gens payent, c'est qu'ils ont quelque chose à se reprocher. Pas forcément. Chez CyberMalvaillance.gouv.fr nous avons échangé avec des victimes en panique totale qui avaient surtout peur de l'erreur judiciaire." En effet, certaines personnes naviguent sur des sites pornographiques et n'ont pas forcément conscience de la présence de mineurs sur certaines séquences ou films, "notamment des seniors qui ont du mal à faire la différence" ajoute le responsable du site gouvernemental. Les mails sont envoyés à des milliers de personnes, mais ce ne sont jamais les mêmes. C'est la technique dite du "broutage". Les adresses mail des victimes sont récupérées pour quelques dizaines d'euros sur le darkweb.
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