Les infractions à la pédopornographie, le hit de l'année

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Envoyés par la Police, Europol ou Interpol, entre autres, les faux messages d'infraction à la pédopornographie paraissent parfois plus vrais que nature. Vrais logos, vrais tampons, vrais noms de policiers ou de Procureur de la République, ces messages bien ficelés attirent l'attention et font douter de nombreux internautes lors de leur réception.

Les cybercriminels demandent à leurs victimes de payer des amendes "qui varient tout de même de 4 000 à 7 000 euros" d'après Jean-Jacques Latour.

Le phénomène, lui, a été lancé en 2020 avec des messages provenant en premier lieu de la préfecture de Paris, ou de la brigade de protection des mineurs. En 2021, cette manœuvre a totalement inondé les boîtes mails des particuliers.
 
Envoyés par la Police, Europol ou Interpol, entre autres, les faux messages d'infraction à la pédopornographie paraissent parfois plus vrais que nature. Vrais logos, vrais tampons, vrais noms de policiers ou de Procureur de la République, ces messages bien ficelés attirent l'attention et font douter de nombreux internautes lors de leur réception. Les cybercriminels demandent à leurs victimes de payer des amendes "qui varient tout de même de 4 000 à 7 000 euros" d'après Jean-Jacques Latour. Le phénomène, lui, a été lancé en 2020 avec des messages provenant en premier lieu de la préfecture de Paris, ou de la brigade de protection des mineurs. En 2021, cette manœuvre a totalement inondé les boîtes mails des particuliers.  
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