Se dirige-t-on vers un système par capitalisation ?

© ISA HARSIN/SIPA
C'est notamment ce qu'avait affirmé la France insoumise lors des débats dans l'hémicycle du Palais Bourbon. Pour rappel, notre système fonctionne actuellement avec un régime par répartition, où les cotisations des actifs d'aujourd'hui financent les pensions des retraités actuels. Ce système n'a pas vocation à disparaître dans le cadre de la réforme des retraites.

Dans les faits, la logique de retraite capitalisation existe déjà en France, puisque les salariés ont déjà la possibilité d'ouvrir un compte épargne retraite, comme le Perp (Plan d'épargne retraite populaire) par exemple pour accumuler de l'argent en vue de leur retraite, en plus de leur pension. Toutefois, seule une poignée d'actifs y recourent à l'heure actuelle. C'est la raison pour laquelle l'exécutif a souhaité faciliter l'accès à ce dispositif avec la création du PER (Plan d'épargne retraite), via la loi Pacte. Ce nouveau produit implique la fin du Perp et du Perco notamment en octobre 2020.
C'est notamment ce qu'avait affirmé la France insoumise lors des débats dans l'hémicycle du Palais Bourbon. Pour rappel, notre système fonctionne actuellement avec un régime par répartition, où les cotisations des actifs d'aujourd'hui financent les pensions des retraités actuels. Ce système n'a pas vocation à disparaître dans le cadre de la réforme des retraites. Dans les faits, la logique de retraite capitalisation existe déjà en France, puisque les salariés ont déjà la possibilité d'ouvrir un compte épargne retraite, comme le Perp (Plan d'épargne retraite populaire) par exemple pour accumuler de l'argent en vue de leur retraite, en plus de leur pension. Toutefois, seule une poignée d'actifs y recourent à l'heure actuelle. C'est la raison pour laquelle l'exécutif a souhaité faciliter l'accès à ce dispositif avec la création du PER (Plan d'épargne retraite), via la loi Pacte. Ce nouveau produit implique la fin du Perp et du Perco notamment en octobre 2020.
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