Est-ce le bon taux appliqué à ma location meublée ?

Locations meublées et non meublées ne présentent pas les mêmes avantages fiscaux. © Kurhan - 123RF

Lorsque vous détenez un bien immobilier que vous louez en tant que loueur non professionnel, vos revenus fonciers doivent être mentionnés dans votre déclaration car ils sont soumis au barème progressif de l'impôt sur le revenu. Lorsque la location est meublée, vous devez mentionner les montants perçus en tant que "bénéfices industriels et commerciaux" (BIC). Concernant les locations non meublées, deux cas sont à distinguer. Si vos revenus fonciers dépassent 15 000 euros annuels, vous devez les mentionner sur le formulaire n°2044. S'ils sont en revanche inférieurs à 15 000 euros, le régime "micro-foncier" est appliqué. Dans ce cas, indiquez simplement le montant de vos loyers en case 4BE de votre formulaire n°2042.
A noter que si vous louez une partie de votre habitation principale et que la ou les pièces louée(s) constituent l'habitation principale du locataire, vos revenus fonciers sont exonérés dès lors qu'ils ne dépassent pas 184 euros par an en Île-de-France et 135 euros dans une autre région.

Lorsque vous détenez un bien immobilier que vous louez en tant que loueur non professionnel, vos revenus fonciers doivent être mentionnés dans votre déclaration car ils sont soumis au barème progressif de l'impôt sur le revenu. Lorsque la location est meublée, vous devez mentionner les montants perçus en tant que "bénéfices industriels et commerciaux" (BIC). Concernant les locations non meublées, deux cas sont à distinguer. Si vos revenus fonciers dépassent 15 000 euros annuels, vous devez les mentionner sur le formulaire n°2044. S'ils sont en revanche inférieurs à 15 000 euros, le régime "micro-foncier" est appliqué. Dans ce cas, indiquez simplement le montant de vos loyers en case 4BE de votre formulaire n°2042. A noter que si vous louez une partie de votre habitation principale et que la ou les pièces louée(s) constituent l'habitation principale du locataire, vos revenus fonciers sont exonérés dès lors qu'ils ne dépassent pas 184 euros par an en Île-de-France et 135 euros dans une autre région.
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