La création d'un système "universel"

© DICOM/MERESSE/SIPA
C'est le grand principe au cœur même de cette réforme des retraites. Il est justifié par l'exécutif par plusieurs motifs :
  • L'illisibilité du système de retraite actuel, et ses très nombreux régimes de retraite aux modalités de calcul des droits différentes,
  • Son caractère inégalitaire qui en découle puisque, pour une même situation, les modalités de calcul de la retraite peuvent être différentes. Le gouvernement a souvent pris l'exemple du chauffeur de bus de la RATP, qui peut partir à la retraite bien avant l'âge légal, et celui qui est salarié du secteur privé, qui doit nécessairement attendre 62 ans.
  • Le fait qu'il est aujourd'hui "inadapté" à l'évolution démographique et aux évolutions des parcours professionnels.
  • Et donc qu'à terme il n'est pas viable financièrement. 
Avec le régime universel, le gouvernement souhaite faire en sorte que "chaque euro cotisé donne les mêmes droits à tous". Ce principe même d'universalité est vivement contesté par la CGT et Force ouvrière par exemple, au motif que les avantages de certaines régimes sont parfaitement justifiés par la pénibilité des métiers notamment. 
C'est le grand principe au cœur même de cette réforme des retraites. Il est justifié par l'exécutif par plusieurs motifs :
  • L'illisibilité du système de retraite actuel, et ses très nombreux régimes de retraite aux modalités de calcul des droits différentes,
  • Son caractère inégalitaire qui en découle puisque, pour une même situation, les modalités de calcul de la retraite peuvent être différentes. Le gouvernement a souvent pris l'exemple du chauffeur de bus de la RATP, qui peut partir à la retraite bien avant l'âge légal, et celui qui est salarié du secteur privé, qui doit nécessairement attendre 62 ans.
  • Le fait qu'il est aujourd'hui "inadapté" à l'évolution démographique et aux évolutions des parcours professionnels.
  • Et donc qu'à terme il n'est pas viable financièrement. 
Avec le régime universel, le gouvernement souhaite faire en sorte que "chaque euro cotisé donne les mêmes droits à tous". Ce principe même d'universalité est vivement contesté par la CGT et Force ouvrière par exemple, au motif que les avantages de certaines régimes sont parfaitement justifiés par la pénibilité des métiers notamment. 
© DICOM/MERESSE/SIPA