Certains devront cotiser 44 ans, et non plus 43 ans

© Jacques Witt/SIPA (publiée le 19/01/2023)
Le point de la discorde se situe au niveau des carrières longues. Mauvaise nouvelle pour certains cotisants, il faudra bien travailler 44 ans, et non plus 43 ans comme cela est le cas aujourd'hui. Mais pourquoi ? Explications.

Avec la réforme, ceux qui ont commencé à travailler avant 16 ans pourront partir à l'âge de 58 ans, en justifiant de 4 à 5 trimestres cotisés avant cet âge. Pour ceux qui ont démarré avant 18 ans, l'âge de départ sera fixé à 60 ans. Problème, pour bénéficier d'une retraite à taux plein, une année de majoration sera appliquée à ces deux catégories. Autrement dit, il ne faudra plus cotiser 43 annuités comme pour tous mais bien 44 années. Un point de la réforme particulièrement critiqué, et une fenêtre de tir pour l'opposition qui y voit le symbole d'une réforme "injuste". Tentons d'y voir plus clair avec trois exemples précis.
Le point de la discorde se situe au niveau des carrières longues. Mauvaise nouvelle pour certains cotisants, il faudra bien travailler 44 ans, et non plus 43 ans comme cela est le cas aujourd'hui. Mais pourquoi ? Explications. Avec la réforme, ceux qui ont commencé à travailler avant 16 ans pourront partir à l'âge de 58 ans, en justifiant de 4 à 5 trimestres cotisés avant cet âge. Pour ceux qui ont démarré avant 18 ans, l'âge de départ sera fixé à 60 ans. Problème, pour bénéficier d'une retraite à taux plein, une année de majoration sera appliquée à ces deux catégories. Autrement dit, il ne faudra plus cotiser 43 annuités comme pour tous mais bien 44 années. Un point de la réforme particulièrement critiqué, et une fenêtre de tir pour l'opposition qui y voit le symbole d'une réforme "injuste". Tentons d'y voir plus clair avec trois exemples précis.
© Jacques Witt/SIPA (publiée le 19/01/2023)