L'assistant vocal vous écoute, mais pas vraiment

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Les utilisateurs se méfient des assistants vocaux, puisqu'ils estiment qu'ils servent à les espionner en permanence avec leur micro en permanence actif. Au-delà du mythe, il faut comprendre comment ils fonctionnent et comment certains échantillons sont analysés et écoutés alors que d'autres non. L'appareil attend de reconnaître le mot clé qui l'active. Avant ce mot-clé, l'appareil n'écoute pas vraiment. Dès que le mot-clé est prononcé, l'enregistrement est déclenché. La demande vocale est alors envoyée et traitée. L'algorithme va alors estimer un facteur de confiance. S'il considère que ce que l'utilisateur a énoncé est très probable, alors la réponse est envoyée et l'enregistrement détruit. Lorsque le facteur de confiance est plus faible, c'est là que le fichier est écouté pour améliorer la compréhension. C'est d'ailleurs ce qui a engendré bien des inquiétudes l'an passé. Pour le moment, c'est la seule méthode pertinente pour améliorer le facteur de confiance.
Les utilisateurs se méfient des assistants vocaux, puisqu'ils estiment qu'ils servent à les espionner en permanence avec leur micro en permanence actif. Au-delà du mythe, il faut comprendre comment ils fonctionnent et comment certains échantillons sont analysés et écoutés alors que d'autres non. L'appareil attend de reconnaître le mot clé qui l'active. Avant ce mot-clé, l'appareil n'écoute pas vraiment. Dès que le mot-clé est prononcé, l'enregistrement est déclenché. La demande vocale est alors envoyée et traitée. L'algorithme va alors estimer un facteur de confiance. S'il considère que ce que l'utilisateur a énoncé est très probable, alors la réponse est envoyée et l'enregistrement détruit. Lorsque le facteur de confiance est plus faible, c'est là que le fichier est écouté pour améliorer la compréhension. C'est d'ailleurs ce qui a engendré bien des inquiétudes l'an passé. Pour le moment, c'est la seule méthode pertinente pour améliorer le facteur de confiance.
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