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 Plus de 170 affiches, des photos inédites des "Ateliers populaires" et les commentaires de l'historien Michel Wlassikoff permettent de retracer la saga des affiches de Mai 68. Grâce à l'ouvrage publié aux Editions Alternatives, Mai 68 L'affiche en héritage, le lecteur découvre au travers d'images simples les attentes, les revendications de toute une génération d'étudiants et de travailleurs, ainsi que les tendances complexes qui bousculent la société de l'époque. Drôles, ironiques, cinglantes... Ces affiches s'imposent, à l'heure du 40e anniversaire des événements de Mai 68, comme un héritage culturel majeur du XXe siècle. Du 15 mai au 27 juin, les Beaux Arts deviennent la fabrique officielle des affiches qui fleuriront par la suite sur les murs de la capitale. Des élèves et des professeurs occupent l'atelier de peinture, qu'ils rebaptisent l'Atelier populaire. Lors d'assemblées générales, les idées fusent sur les slogans et les images. Artistes, travailleurs et étudiants travaillent main dans la main. Plusieurs centaines d'affiches différentes seront créées en un peu plus d'un mois. Certaines, comme "La chienlit c'est lui" ou "Nous sommes tous indésirables", sont devenues cultes.  Mai 68 : au coeur des révolutions Grévistes, manifestants, ouvriers ou étudiants... Les correspondants de L'Humanité ont saisi leur histoire pour raconter les événements du printemps 1968. Mai 68 en images A quoi ressemblait la France en 68 ? Musique, mode, revues, objets du quotidien... Faites un bond dans le temps dans la France des années 1960. Le décor de Mai 68 Ce que Mai 68 a changé dans leur vie Evelyne est devenue plus permissive, Bernard a vu son salaire doublé, Jean-François a fui la France, Nicolas a vécu dans une communauté. Les lecteurs de L'Internaute témoignent. Témoignages |
