"Max Ernst, Le Jardin de la France", Musée des Beaux-Arts de Tours

Ernst, P. 17 - PETER SCHAMONI, Max Ernst dans son atelier à Huismes, 1963, Brühl, Max Ernst Museum (Photo n° 274), Inv.: Abb. S. 292 © Peter Schamoni. Max-Ernst-Kabinett, stadt Brühl

Ernst inédit

C'est en 1955, que Max Ernst choisit avec son épouse, le peintre américain Dorothea Tanning, de s'installer en Touraine. A l'heure où Paris assiste à l'éclosion de l'art informel et abstrait, c'est ici qu'il crée, dans l'isolement et le calme de cette région, son oeuvre tardive, riche et singulière. Aujourd'hui, grâce à de nombreux prêts de collections publiques, des collages, dessins, estampes, ouvrages illustrés, peintures et sculptures, réalisés pendant ces années, sont rassemblés. Les prêts généreux de collectionneurs privés en France et à l'étranger permettent de réunir exceptionnellement certaines oeuvres qui n'ont jusqu'à présent jamais été exposées. Parallèlement, jusqu'au 13 septembre à Orsay se tient l'exposition "Max Ernst : une semaine de bonté, les collages originaux".

 
Ernst inédit C'est en 1955, que Max Ernst choisit avec son épouse, le peintre américain Dorothea Tanning, de s'installer en Touraine. A l'heure où Paris assiste à l'éclosion de l'art informel et abstrait, c'est ici qu'il crée, dans l'isolement et le calme de cette région, son oeuvre tardive, riche et singulière. Aujourd'hui, grâce à de nombreux prêts de collections publiques, des collages, dessins, estampes, ouvrages illustrés, peintures et sculptures, réalisés pendant ces années, sont rassemblés. Les prêts généreux de collectionneurs privés en France et à l'étranger permettent de réunir exceptionnellement certaines oeuvres qui n'ont jusqu'à présent jamais été exposées. Parallèlement, jusqu'au 13 septembre à Orsay se tient l'exposition "Max Ernst : une semaine de bonté, les collages originaux".  
© Peter Schamoni. Max-Ernst-Kabinett, stadt Brühl