Quelles activités sont soumises au pass sanitaire ?

L’accès à un club de sport professionnel ou amateur est soumis à la présentation d’un pass sanitaire. © Callum Moffat/Mirrorpix/SIPA
Depuis ce jeudi 30 septembre, le pass sanitaire est requis pour les mineurs à partir de 12 ans et deux mois pour se rendre aux restaurants, musées, cinémas, parc d'attraction mais aussi pour les activités extrascolaires. Tous les lieux d'activités ou de loisirs qui soumettent les adultes à ce protocole sanitaire depuis le 9 août, le sont également pour les adolescents, dans le but de limiter la propagation du Covid-19. Et le club de sport de l'adolescent ne déroge pas à la règle !

Les lieux concernés sont : les lieux de loisirs et de culture (cinémas, théâtres, musées, discothèques, parcs d'attraction, parcs zoologiques), les bars, restaurants et cafés (même en terrasse), les établissements sportifs clos ou de plein air (salles de sport, gymnases, piscines, stades), les trains, les avions et cars de longue distance, les établissements médicaux, les centres commerciaux de plus de 20 000 m² où le taux d'incidence dépasse les 200 pour 100 000 habitants sur une semaine.
Depuis ce jeudi 30 septembre, le pass sanitaire est requis pour les mineurs à partir de 12 ans et deux mois pour se rendre aux restaurants, musées, cinémas, parc d'attraction mais aussi pour les activités extrascolaires. Tous les lieux d'activités ou de loisirs qui soumettent les adultes à ce protocole sanitaire depuis le 9 août, le sont également pour les adolescents, dans le but de limiter la propagation du Covid-19. Et le club de sport de l'adolescent ne déroge pas à la règle ! Les lieux concernés sont : les lieux de loisirs et de culture (cinémas, théâtres, musées, discothèques, parcs d'attraction, parcs zoologiques), les bars, restaurants et cafés (même en terrasse), les établissements sportifs clos ou de plein air (salles de sport, gymnases, piscines, stades), les trains, les avions et cars de longue distance, les établissements médicaux, les centres commerciaux de plus de 20 000 m² où le taux d'incidence dépasse les 200 pour 100 000 habitants sur une semaine.
© Callum Moffat/Mirrorpix/SIPA