Il peut aussi être mauvais perdant

Romain Bardet détestait déjà la défaite lorsqu'il était enfant. © Christophe Ena/AP/SIPA
Romain Bardet doit ses succès à une préparation méticuleuse mais aussi à une mentalité de gagneur qui confine parfois à l'obsession.

Dans L'Equipe, le 3 mars dernier, il racontait : "À l'arrivée de courses de jeunes, il m'est arrivé de balancer mon vélo car je n'étais pas premier. J'étais assez mauvais perdant. Je me retrouve totalement dans les propos de Martin Fourcade qui dit 'Je déteste davantage perdre que j'aime gagner'.

Très exigeant avec lui-même, le coureur français a également développé une capacité à rebondir comme il l'a prouvé sur le Tour de France en 2016. "Moi, après une défaite, j'ai un sentiment d'indignation qui fait que je rebondis vite, explique-t-il.
Romain Bardet doit ses succès à une préparation méticuleuse mais aussi à une mentalité de gagneur qui confine parfois à l'obsession. Dans L'Equipe, le 3 mars dernier, il racontait : "À l'arrivée de courses de jeunes, il m'est arrivé de balancer mon vélo car je n'étais pas premier. J'étais assez mauvais perdant. Je me retrouve totalement dans les propos de Martin Fourcade qui dit 'Je déteste davantage perdre que j'aime gagner'. Très exigeant avec lui-même, le coureur français a également développé une capacité à rebondir comme il l'a prouvé sur le Tour de France en 2016. "Moi, après une défaite, j'ai un sentiment d'indignation qui fait que je rebondis vite, explique-t-il.
© Christophe Ena/AP/SIPA