Ribéry : entre cannabis, piqûres et plongeon, son forfait tourne à la farce

Ribéry : entre cannabis, piqûres et plongeon, son forfait tourne à la farce Franck Ribéry a une manière bien singulière de se rétablir de la blessure qui l'a privé de Mondial. Un journal allemand l'accuse même de fumer du cannabis. Dernier épisode d'une saga déjà riche.

Frank Ribéry semble se remettre de son immense déception provoquée par son forfait pour la Coupe du Monde. Le joueur et le staff médical de l'équipe de France ont expliqué que ses "douleurs de dos" l'avaient contraint à l'abandon. Pourtant, cela n'empêche pas le joueur du Bayern Munich de plonger de son bateau pendant ses vacances à Ibiza. Franck Ribéry est en effet en Espagne pour ses congés et les paparazzis ont immortalisé des instants plutôt gênants pour lui. Des photos sur lesquelles Frank Ribéry apparaît avec un ami fumant manifestement un "joint" ont été publié par le journal allemand Bild. Sur un des clichés, il semblerait même que ce soit le Munichois qui fume, caché derrière une serviette.

Il y a quelques jours, une autre polémique, plus médicale, était lancée au début de la convalescence du joueur. Le médecin de l'équipe de France condamnait ouvertement les "injections" faites par le Bayern de Munich, le club de Franck Ribéry, à ses joueurs. Franck Le Gall a de fait accusé le club munichois et son médecin de "traiter toutes les pathologies à base de piqures", dont le contenu est pour le moins sujet à controverses. Le docteur docteur Müller-Wohlfahrt, médecin du Bayern et de l'équipe nationale allemande, aurait en effet une façon toute particulière de traiter les problèmes musculaires : les piqures à base de sang de veau déprotéiné, rapporte le Monde. Des piqures qui peuvent selon lui atteindre le nombre de quarante par an et par pathologie. Plus que ne peut en tout cas en supporter l'attaquant français. "A un moment, il n'en pouvait plus des piqures, donc on ne l'a pas fait parce qu'il a peur des piqures", a ajouté Franck Le Gall.

Une convalescence très commentée

Entre ces révélations et les images encombrantes sur sa "convalescence" à Ibiza, les conditions réelles dans lesquelles s'est décidé le forfait de Franck Ribéry suscitent de plus en plus la circonspection. Sur Twitter, les images du Bild circulent à vitesse grand V. La journaliste Estelle Denis y est même allée de son petit commentaire : "Je ne savais pas que le plongeon était recommandé pour le mal de dos" s'amuse-t-elle dans un post.