Valbuena et Benzema était-ils amis avant l'affaire ?

Valbuena et Benzema était-ils amis avant l'affaire ?
Valbuena et Benzema ont souvent été coéquipiers chez les Bleus. © Christophe Ena/AP/SIPA
Cette affaire pose la question des relations entre Mathieu Valbuena et Karim Benzema. Les deux joueurs étaient-ils fâchés ? Avaient-ils un compte à régler ? Pas vraiment, selon Valbuena lui-même qui confiait au Monde en novembre 2015 : "C'est un collègue de travail, je ne suis pas cul et chemise avec lui non-stop, mais il n'y a aucune animosité entre nous, aucun problème. C'est un coéquipier". Les déclarations de Benzema devant le juge semblent aller dans le même sens : " C'est quelqu'un qui joue avec moi en équipe de France, c'est un pote. Je voulais discuter avec lui pour lui faire part que moi aussi ça m'était arrivé et voir ce qu'il en pensait".

Cette relation a priori aura toutefois bien du mal à résister à l'enquête. "Je ne peux être que très très très déçu, et constater que la relation avec Karim, elle n'est pas aussi sincère qu'il pouvait peut-être le prétendre", déclarait ainsi Valbuena dans cette même interview au Monde.
Cette affaire pose la question des relations entre Mathieu Valbuena et Karim Benzema. Les deux joueurs étaient-ils fâchés ? Avaient-ils un compte à régler ? Pas vraiment, selon Valbuena lui-même qui confiait au Monde en novembre 2015 : "C'est un collègue de travail, je ne suis pas cul et chemise avec lui non-stop, mais il n'y a aucune animosité entre nous, aucun problème. C'est un coéquipier". Les déclarations de Benzema devant le juge semblent aller dans le même sens : " C'est quelqu'un qui joue avec moi en équipe de France, c'est un pote. Je voulais discuter avec lui pour lui faire part que moi aussi ça m'était arrivé et voir ce qu'il en pensait". Cette relation a priori aura toutefois bien du mal à résister à l'enquête. "Je ne peux être que très très très déçu, et constater que la relation avec Karim, elle n'est pas aussi sincère qu'il pouvait peut-être le prétendre", déclarait ainsi Valbuena dans cette même interview au Monde.
© Christophe Ena/AP/SIPA