Nalbandian, le pêcheur repêché

David Nalbandian, vainqueur de 10 tournois ATP. © L'Internaute Magazine - Cécile Debise

En 2005, les huit meilleurs joueurs mondiaux sont invités au Masters de Shanghaï. Les défections de Rafael Nadal, Leyton Hewitt, Andre Agassi et Marat Safin profitent à David Nalbandian, appelé de dernière minute. L'Argentin, qui avait prévu de partir pêcher en Patagonie, s'envole finalement pour Shanghaï.

En phase de poule ("round robin"), David Nalbandian est battu par Roger Federer mais remporte ses matchs face à Guillermo Coria et Ivan Ljubicic. Qualifié pour la 1/2 finale, il se débarrasse du Russe Nikolay Davydenko.

En finale, l'Argentin retrouve à nouveau Roger Federer, le tenant du titre. Le n°1 mondial vient de corriger Gaston Gaudio, 6-0, 6-0... Lors de leurs 4 dernières confrontations, Federer l'a toujours emporté.

Pourtant, c'est bel et bien le remplaçant Nalbandian qui devient le maître de la Masters Cup. En 5 sets, le "gringo" de Unquillo rapporte à l'Argentine le titre qu'elle attendait depuis 1974 et la victoire de Guillermo Vilas.

En 2005, les huit meilleurs joueurs mondiaux sont invités au Masters de Shanghaï. Les défections de Rafael Nadal, Leyton Hewitt, Andre Agassi et Marat Safin profitent à David Nalbandian, appelé de dernière minute. L'Argentin, qui avait prévu de partir pêcher en Patagonie, s'envole finalement pour Shanghaï. En phase de poule ("round robin"), David Nalbandian est battu par Roger Federer mais remporte ses matchs face à Guillermo Coria et Ivan Ljubicic. Qualifié pour la 1/2 finale, il se débarrasse du Russe Nikolay Davydenko. En finale, l'Argentin retrouve à nouveau Roger Federer, le tenant du titre. Le n°1 mondial vient de corriger Gaston Gaudio, 6-0, 6-0... Lors de leurs 4 dernières confrontations, Federer l'a toujours emporté. Pourtant, c'est bel et bien le remplaçant Nalbandian qui devient le maître de la Masters Cup. En 5 sets, le "gringo" de Unquillo rapporte à l'Argentine le titre qu'elle attendait depuis 1974 et la victoire de Guillermo Vilas.
© L'Internaute Magazine - Cécile Debise