Nicolas Duvauchelle tape des poings

Nicolas Duvauchelle est aujourd'hui un des acteurs les plus demandés de sa génération. © Nicolas Genin

Une carrière d'acteur débute parfois par hasard. C'est ce qui est arrivé à Nicolas Duvauchelle. A 17 ans, il arrête l'école, traîne beaucoup dehors mais a une passion : la boxe thaï. Tous les après-midi, il s'entraîne dans le
XIe arrondissement
de Paris sous les ordres d'André Zeitoun.

Un jour de 1998, l'équipe de production du film "Le petit voleur" d'Erick Zonca vient dans sa salle chercher un jeune comédien. Ce sera cet ado plein d'énergie aux yeux bleus. Il décroche le premier rôle et, pris au jeu se lance dans une carrière d'acteur.

Toujours à la salle à faire des pompes et des abdos

S'il déclare toujours rêver de devenir champion de boxe, il sait qu'il ne rattrapera pas le temps perdu. Deux fois par semaine, il continue de venir transpirer avec d'autres boxeurs pour parfaire sa condition et s'adonner à sa passion.

Il s'est aussi fait tatouer "muay thaï" en thaïlandais sur le bras. "Rien ne changera entre nous, assure André Zeitoun, il viendra toujours à la salle et fera toujours ses centaines d'abdos et de pompes sans broncher".

Une carrière d'acteur débute parfois par hasard. C'est ce qui est arrivé à Nicolas Duvauchelle. A 17 ans, il arrête l'école, traîne beaucoup dehors mais a une passion : la boxe thaï. Tous les après-midi, il s'entraîne dans le XIe arrondissement de Paris sous les ordres d'André Zeitoun. Un jour de 1998, l'équipe de production du film "Le petit voleur" d'Erick Zonca vient dans sa salle chercher un jeune comédien. Ce sera cet ado plein d'énergie aux yeux bleus. Il décroche le premier rôle et, pris au jeu se lance dans une carrière d'acteur.Toujours à la salle à faire des pompes et des abdos S'il déclare toujours rêver de devenir champion de boxe, il sait qu'il ne rattrapera pas le temps perdu. Deux fois par semaine, il continue de venir transpirer avec d'autres boxeurs pour parfaire sa condition et s'adonner à sa passion. Il s'est aussi fait tatouer "muay thaï" en thaïlandais sur le bras. "Rien ne changera entre nous, assure André Zeitoun, il viendra toujours à la salle et fera toujours ses centaines d'abdos et de pompes sans broncher".
© Nicolas Genin