Le 12 juillet 1998 est ancré dans les mémoires françaises et brésiliennes mais pas pour les mêmes raisons. La France s'extasiait devant ses champions du monde, et tout le Brésil s'inquiétait de l'état de santé de sa star Ronaldo, étrangement transparent lors de ce match. Ce jour-là, l'attaquant, victime d'un malaise dans l'après-midi et transporté à l'hôpital, a bien failli ne pas jouer. Mais, alors que l'on pensait que Ronaldo avait été victime d'une crise d'épilepsie, Bruno Caru, président de la société italienne de cardiologie, remet aujourd'hui en cause cette théorie : "En vérifiant le dossier, une fois à l'hôpital, il avait 18 pulsations par minute. Cela signifie qu'au moment de la crise, le cœur s'était arrêté de battre", a-t-il confié à la chaîne de télé italienne Mediaset.
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