Des sports plus risqués que d'autres

Tous les sports où les accélérations violentes, les changements brusques de direction (comme le handball) et les sauts sont fréquents peuvent provoquer une rupture du tendon d'Achille. © Martin Cintula - Fotolia

De manière générale, toutes les disciplines où les accélérations violentes (le sprint), les changements brusques de direction (le hand, le basket, le volley, les lancers...) et les sauts (en hauteur, longueur...) sont fréquents peuvent provoquer une rupture du tendon d'Achille. Cette zone du corps accumule en effet une forte tension au moment de l'appui, qui peut être fatale. D'ailleurs, c'est en général la jambe d'appui qui est la première victime de l'accident.

Les marathoniens sont aussi des sportifs particulièrement exposés. Sur les 42,195 km du parcours, le coureur peut effectuer jusqu'à 40 000 foulées. Le tendon d'Achille est sollicité en permanence.

En foot et au rugby, le rythme haché des efforts (accélérations brutales/phases de repos) crée des microtraumatismes qui, à la longue, fragilisent les tendons. Les tendinites sont un indicateur de danger immédiat.

De manière générale, toutes les disciplines où les accélérations violentes (le sprint), les changements brusques de direction (le hand, le basket, le volley, les lancers...) et les sauts (en hauteur, longueur...) sont fréquents peuvent provoquer une rupture du tendon d'Achille. Cette zone du corps accumule en effet une forte tension au moment de l'appui, qui peut être fatale. D'ailleurs, c'est en général la jambe d'appui qui est la première victime de l'accident. Les marathoniens sont aussi des sportifs particulièrement exposés. Sur les 42,195 km du parcours, le coureur peut effectuer jusqu'à 40 000 foulées. Le tendon d'Achille est sollicité en permanence. En foot et au rugby, le rythme haché des efforts (accélérations brutales/phases de repos) crée des microtraumatismes qui, à la longue, fragilisent les tendons. Les tendinites sont un indicateur de danger immédiat.
© Martin Cintula - Fotolia