En guerre contre Jean-Jacques Bourdin

© Alain ROBERT/Apercu/SIPA
Tout a commencé fin 2014, lorsque Nicolas Canteloup s'est moqué des interviews de Jean-Jacques Bourdin en changeant l'acronyme de RMC en "Radio Marine Championne" en référence à Marine Le Pen. Très vite, le journaliste a répondu en indiquant que "ce Canteloup commence à me fatiguer et si ça continue comme ça je prendrai les décisions qu'il faut. J'irai l'attraper au collet et j'irai lui dire ce que je pense. Je ne pense pas que ça soit un homme, franchement".

L'histoire ne s'arrête pas là, puisque l'humoriste a répondu sur l'antenne d'Europe 1 : "Il faut être transparent : tout le monde est tendu ici. A tout moment, il peut débarquer Jean-Jacques Bourdin. On s'en fout, on est préparés : j'ai mon protège-dents qui est ici, j'ai mes compresses. Jean-Pierre Elkabbach a une doudoune pare-balles". Une chronique très drôle, qui a eu pour effet de désamorcer une situation qui durait depuis plusieurs jours !
Tout a commencé fin 2014, lorsque Nicolas Canteloup s'est moqué des interviews de Jean-Jacques Bourdin en changeant l'acronyme de RMC en "Radio Marine Championne" en référence à Marine Le Pen. Très vite, le journaliste a répondu en indiquant que "ce Canteloup commence à me fatiguer et si ça continue comme ça je prendrai les décisions qu'il faut. J'irai l'attraper au collet et j'irai lui dire ce que je pense. Je ne pense pas que ça soit un homme, franchement". L'histoire ne s'arrête pas là, puisque l'humoriste a répondu sur l'antenne d'Europe 1 : "Il faut être transparent : tout le monde est tendu ici. A tout moment, il peut débarquer Jean-Jacques Bourdin. On s'en fout, on est préparés : j'ai mon protège-dents qui est ici, j'ai mes compresses. Jean-Pierre Elkabbach a une doudoune pare-balles". Une chronique très drôle, qui a eu pour effet de désamorcer une situation qui durait depuis plusieurs jours !
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