"Homophobe et caricatural" pour Bertrand Delanoë

© Alain Robert/Apercu/SIPA
En février 2013, Nicolas Canteloup propose aux auditeurs d'Europe 1 une imitation de Bertrand Delanoë, qui était maire de Paris à l'époque. Une chronique que l'homme politique aurait trouvée "homophobe et caricatural" selon L'Express. Voilà ce que l'humoriste disait à l'époque à l'antenne : "Il se trouve qu'hier je suis entré dans Notre-Dame, je me suis dit 'Bertrand, fais un effort […] Six tonnes de cuivre et d'étain c'est bien beau, mais c'est pas Bibi qui va nettoyer" Il va encore plus loin avec la phrase suivant : "J'ai les mains dans un état. Il va falloir que je fasse une manucure".

L'humoriste a justifié sa chronique dans les colonnes du Parisien : "Bertrand Delanoë trouvait que dans le traitement de son personnage, on allait trop sur son homosexualité. Nous, on souligne le trait de ce qui fait l'identité d'un personnage. Quand on caricature quelqu'un, ça peut l'agacer."
En février 2013, Nicolas Canteloup propose aux auditeurs d'Europe 1 une imitation de Bertrand Delanoë, qui était maire de Paris à l'époque. Une chronique que l'homme politique aurait trouvée "homophobe et caricatural" selon L'Express. Voilà ce que l'humoriste disait à l'époque à l'antenne : "Il se trouve qu'hier je suis entré dans Notre-Dame, je me suis dit 'Bertrand, fais un effort […] Six tonnes de cuivre et d'étain c'est bien beau, mais c'est pas Bibi qui va nettoyer" Il va encore plus loin avec la phrase suivant : "J'ai les mains dans un état. Il va falloir que je fasse une manucure". L'humoriste a justifié sa chronique dans les colonnes du Parisien : "Bertrand Delanoë trouvait que dans le traitement de son personnage, on allait trop sur son homosexualité. Nous, on souligne le trait de ce qui fait l'identité d'un personnage. Quand on caricature quelqu'un, ça peut l'agacer."
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