Le thé : une tradition en Turquie

Le thé, une tradition en Turquie © Anthony FERRARD

Si l'on parle souvent du café turc, élément clé de la culture ottomane, on connaît moins l'importance du thé en Turquie qui s'impose au moment de la chute de l'empire.

Le thé s'écrit "çay" et se prononce "tchaï" en turc. Ce mot vient directement du chinois "tchaé".

En général, il est consommé noir et plus d'une dizaine d'opérations sont nécessaires à son élaboration.

Les plus grands champs de thé de Turquie se trouvent à la frontière géorgienne. Les précipitations y sont suffisamment importantes pour permettre sa culture.

Le thé et son partage permettent de tisser et de nouer des liens, chaque famille en Turquie en consommerait près d'un kilo par semaine.

Si l'on parle souvent du café turc, élément clé de la culture ottomane, on connaît moins l'importance du thé en Turquie qui s'impose au moment de la chute de l'empire. Le thé s'écrit "çay" et se prononce "tchaï" en turc. Ce mot vient directement du chinois "tchaé". En général, il est consommé noir et plus d'une dizaine d'opérations sont nécessaires à son élaboration. Les plus grands champs de thé de Turquie se trouvent à la frontière géorgienne. Les précipitations y sont suffisamment importantes pour permettre sa culture. Le thé et son partage permettent de tisser et de nouer des liens, chaque famille en Turquie en consommerait près d'un kilo par semaine.
© Anthony FERRARD