Lyon vue par Stendhal

Vue sur les toits de Lyon à Saint-Jean. © Pascale LLORENS

En 1838, Stendhal publie Mémoires d'un touriste, un récit de voyages au cours desquels il fait escale à Lyon. Séduit par la ville, il l'est tout autant par la gastronomie qu'il évoque en termes élogieux. Ses promenades dans la ville le mènent des Brotteaux au quai Saint-Clair. Mais c'est du haut de la colline de Fourvière qu'il écrit : "C'est de ce point que fût dessiné le premier panorama. La vue est admirable. La Saône paresseuse coule sur des rochers ; au-delà de la ville, du côté du Dauphiné, on aperçoit le Rhône impétueux qui vient se joindre à la Saône paresseuse à l'extrémité de la presqu'île de Perrache (au pont de la Mulatière), et l'entraîne avec lui."

A voir guide de la ville de Lyon
Et aussi : Biographie de Stendhal

En 1838, Stendhal publie Mémoires d'un touriste, un récit de voyages au cours desquels il fait escale à Lyon. Séduit par la ville, il l'est tout autant par la gastronomie qu'il évoque en termes élogieux. Ses promenades dans la ville le mènent des Brotteaux au quai Saint-Clair. Mais c'est du haut de la colline de Fourvière qu'il écrit : "C'est de ce point que fût dessiné le premier panorama. La vue est admirable. La Saône paresseuse coule sur des rochers ; au-delà de la ville, du côté du Dauphiné, on aperçoit le Rhône impétueux qui vient se joindre à la Saône paresseuse à l'extrémité de la presqu'île de Perrache (au pont de la Mulatière), et l'entraîne avec lui." A voir : guide de la ville de Lyon Et aussi : Biographie de Stendhal
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