Luis Suarez

Luis Suarez s'est fait remarquer lors du Mondial-2010... © Antoon Kuper

Son profil

Avant de briller lors du Mondial et de se révéler à la face du monde, Luis Suarez a bouclé le championnat néerlandais avec des statistiques affolantes : 33 buts en 35 matchs ! L'attaquant de l'Ajax Amsterdam, formé au Nacional Montevideo puis passé par le FC Groningue (Pays-Bas), connaît une ascension fulgurante.

L'Uruguayen sait marquer de près, de loin, des deux pieds et de la tête. Mais il opère également un pressing constant et oppressant sur les lignes adverses, ce qui le rend très précieux dans la récupération de balle.

Ses défis ?

Au Mondial, la gâchette de l'Ajax a montré ses deux visages : celui de l'attaquant décisif, face au Mexique au 1er tour puis contre la Corée du Sud en 8e (doublé) ; et celui du joueur roublard et peu fair-play, capable d'arrêter une tête ghanéenne à la dernière seconde des prolongations en 1/4, s'amusant de son geste a posteriori. Convoité par Manchester United, Suarez doit s'imposer en Europe pour faire taire ses détracteurs.

Son profil Avant de briller lors du Mondial et de se révéler à la face du monde, Luis Suarez a bouclé le championnat néerlandais avec des statistiques affolantes : 33 buts en 35 matchs ! L'attaquant de l'Ajax Amsterdam, formé au Nacional Montevideo puis passé par le FC Groningue (Pays-Bas), connaît une ascension fulgurante. L'Uruguayen sait marquer de près, de loin, des deux pieds et de la tête. Mais il opère également un pressing constant et oppressant sur les lignes adverses, ce qui le rend très précieux dans la récupération de balle.Ses défis ? Au Mondial, la gâchette de l'Ajax a montré ses deux visages : celui de l'attaquant décisif, face au Mexique au 1er tour puis contre la Corée du Sud en 8e (doublé) ; et celui du joueur roublard et peu fair-play, capable d'arrêter une tête ghanéenne à la dernière seconde des prolongations en 1/4, s'amusant de son geste a posteriori. Convoité par Manchester United, Suarez doit s'imposer en Europe pour faire taire ses détracteurs.
© Antoon Kuper