Pourquoi les syndicats enseignants sont partagés ?

Frédérique Rolet, secrétaire générale et porte-parole du syndicat SNES-FSU, le 22 octobre 2018 à Paris. © IBO / SIPA

Pour le Snes-FSU, syndicat national des enseignants du second degré, ces annonces sont "une bonne nouvelle parce qu'on n'avait pas compris pourquoi l'école, à un moment, était devenue facultative pour certains jeunes", a noté sa secrétaire nationale et porte-parole Frédérique Rolet, sur franceinfo.
Mais le syndicat Sud-Education regrette, lui, "le caractère abrupt des annonces" qui ne favorise pas "une organisation des équipes permettant un retour en classe dans les meilleures conditions". Le premier syndicat du primaire, le Snuipp-FSU, déplore pour sa part : "L'architecture des écoles, la superficie des salles de classe, leur mobilier et les effectifs de classe resteront des contraintes indépassables", ajoutant : "Tous les élèves ne pourront pas revenir à l'école en même temps".

Pour le Snes-FSU, syndicat national des enseignants du second degré, ces annonces sont "une bonne nouvelle parce qu'on n'avait pas compris pourquoi l'école, à un moment, était devenue facultative pour certains jeunes", a noté sa secrétaire nationale et porte-parole Frédérique Rolet, sur franceinfo. Mais le syndicat Sud-Education regrette, lui, "le caractère abrupt des annonces" qui ne favorise pas "une organisation des équipes permettant un retour en classe dans les meilleures conditions". Le premier syndicat du primaire, le Snuipp-FSU, déplore pour sa part : "L'architecture des écoles, la superficie des salles de classe, leur mobilier et les effectifs de classe resteront des contraintes indépassables", ajoutant : "Tous les élèves ne pourront pas revenir à l'école en même temps".
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