Les enseignants pourront-ils encore travailler de chez eux ? (1/2)

Image d'illustration. © RAPHAEL BLOCH / SIPA

Non, car "Pour l'immense majorité [des enseignants], c'est le retour à la normale", a assuré Jean-Michel Blanquer lundi 15 juin. Depuis la réouverture des établissements mi-mai, environ 60% des professeurs ont repris des cours "en présentiel", selon le ministère de l'Education. Les autres ont continué d'enseigner à distance pour des raisons diverses (santé, cours assurés à des élèves ne souhaitant ou ne pouvant pas revenir à l'école, garde d'enfants...). D'après M.Blanquer, dans cette nouvelle étape, "on peut être absent pour une raison de santé" mais "l'absence d'un professeur devient l'exception".
Pour une garde d'enfants empêchant un retour en présentiel, les enseignants, qui bénéficiaient d'une tolérance jusque-là, doivent par exemple désormais fournir une attestation de non prise en charge de l'enfant par son école, comme c'est le cas pour les salariés du privé.

Non, car "Pour l'immense majorité [des enseignants], c'est le retour à la normale", a assuré Jean-Michel Blanquer lundi 15 juin. Depuis la réouverture des établissements mi-mai, environ 60% des professeurs ont repris des cours "en présentiel", selon le ministère de l'Education. Les autres ont continué d'enseigner à distance pour des raisons diverses (santé, cours assurés à des élèves ne souhaitant ou ne pouvant pas revenir à l'école, garde d'enfants...). D'après M.Blanquer, dans cette nouvelle étape, "on peut être absent pour une raison de santé" mais "l'absence d'un professeur devient l'exception". Pour une garde d'enfants empêchant un retour en présentiel, les enseignants, qui bénéficiaient d'une tolérance jusque-là, doivent par exemple désormais fournir une attestation de non prise en charge de l'enfant par son école, comme c'est le cas pour les salariés du privé.
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