"J'aurais aimé qu'elle profite un peu plus de sa vie", explique le compagnon de la professeur tuée à Saint-Jean de Luz, dans une interview accordée à France Inter dans leur appartement de Biarritz. "Mais on va garder espoir, je vais aller de l'avant parce que de toute façon, j'aurais voulu que dans l'autre sens, elle fasse de même." L'homme, ancien militaire, s'est souvenu de leur dernière embrassade, "en descendant de la voiture quand elle m'a laissée en bas de son école. Je suis fier d'avoir été aimé d'elle."
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