Quand Cécilia parle de Valérie
Celle qui est restée quelques mois dans la position délicate d'épouse du président l'affirme : "Première dame est un rôle ambigu". Avant Carla Bruni-Sarkozy et avant Valérie Trierweiler, c'est Céclia Sarkozy, devenue aujourd'hui Cécilia Attias, qui a couru les sommets internationaux et rencontres officielles, accordé des interviews à la presse et donné des conseils à son chef d'Etat de mari. Pour le magazine M, publication hebdomadaire du groupe Le Monde, l'ex-femme de Nicolas Sarkozy revient sur cette période de sa vie où on l'a jugeait trop influente. Comme l'actuelle première dame, Valérie Trierweiler.
Alors Valérie Trierweiler et Cécilia Attias, mêmes tempéraments et mêmes écueils ? L'ancienne locataire de l'Elysée ne veut pas condamner le tweet de Valérie Trierweiler qui a fait scandale. Le message de soutien de la première dame à celui qui s'opposait aux législatives à Ségolène Royal est, pour elle, une affaire "bien dérisoire". Une solidarité affichée ? Cécilia Attias a subi, en son temps, les critiques et sait à quoi s'en tenir. "Je me suis fait assez démolir comme ça pour des toutes petites choses. La première dame, on lui prête beaucoup, c'est un rôle ambigu, il faut savoir raison garder", explique-t-elle à la journaliste Vanessa Schneider. L'ancienne première dame avait tenu cinq mois aux côtés de son mari, avant de tout plaquer. Un record que pourrait battre Valérie Trierweiler ? Pour Cécilia Attias, l'alternative était très claire. "Quand on est dans cette position, soit on prend le tout, soit on ne prend pas !"
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