Ses anciens camarades ne disent pas que du bien de lui (1/4)

Sergio Coronado, ex-député EELV © IBO / SIPA
Depuis l'annonce par l'Elysée, le 4 septembre dernier, de la nomination au ministère de la Transition écologique et solidaire de François de Rugy, les langues se délient parmi ses anciens camarades écolos. A l'image de Sergio Coronado, ex-député EELV (Europe Ecologie les Verts) de 2012 à 2017 : "Je ne suis pas tombé de ma chaise [en apprenant que François de Rugy entrait au gouvernement]. François de Rugy ne veut pas changer le système, pour lui, le marché offre des opportunités incroyables à l'écologie et ça, c'est très Macron-compatible". Egalement interrogés par Franceinfo, les anciens collègues de François de Rugy au sein de l'Assemblée nationale, qu'il présidait, le décrivent comme "très ambitieux" voire "opportuniste" et précisent qu'il "rêvait" de ce poste. Ils reconnaissent pour autant que sa ligne "libérale" "se recycle bien dans le macronisme" et n'est pas nouvelle.
Depuis l'annonce par l'Elysée, le 4 septembre dernier, de la nomination au ministère de la Transition écologique et solidaire de François de Rugy, les langues se délient parmi ses anciens camarades écolos. A l'image de Sergio Coronado, ex-député EELV (Europe Ecologie les Verts) de 2012 à 2017 : "Je ne suis pas tombé de ma chaise [en apprenant que François de Rugy entrait au gouvernement]. François de Rugy ne veut pas changer le système, pour lui, le marché offre des opportunités incroyables à l'écologie et ça, c'est très Macron-compatible". Egalement interrogés par Franceinfo, les anciens collègues de François de Rugy au sein de l'Assemblée nationale, qu'il présidait, le décrivent comme "très ambitieux" voire "opportuniste" et précisent qu'il "rêvait" de ce poste. Ils reconnaissent pour autant que sa ligne "libérale" "se recycle bien dans le macronisme" et n'est pas nouvelle.
© IBO / SIPA