"Si j'étais seule, je reviendrais"

Megumi Okada, mère de famille de 38 ans, a quitté Fukushima après la catastrophe alors même qu'elle n'habitait pas dans une zone obligatoire à évacuer. Celle qui vit aujourd'hui à Tokyo a confié à l'AFP : "Si j'étais seule, je reviendrais. Mais en tant que mère, je veux vraiment éviter les risques pour mes enfants". 

3 mars à Futaba. Une grande clôture bloque l'accès à une maison. 
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