"Zone interdite"

Jusqu'à 12% du département de Fukushima avait été interdit d'accès dans les mois suivant la catastrophe, soit plus de 1 650 km².

Le 4 mars à Okuma. Un agent de sécurité privé posté à l'entrée d'une rue à accès limité, à l'intérieur de la "zone interdite", ou "zone réglementée" de Fukushima.
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