Dati-Yade

Rama Yade et Rachida Dati © Montage L'Internaute Magazine

Sans doute une "icône" de trop au gouvernement... Les premiers mois du quinquennat de Nicolas Sarkozy ont été marqués par une sérieuse rivalité entre Rama Yade et Rachida Dati. Le but selon les médias : être tout simplement "la préférée" du chef de l'Etat. Une banale histoire de jalousie qui aura alimenté les journaux en phrases assassines pendant près d'un an. C'est un fait, les deux femmes ne s'apprécient guère et ne se sont jamais vraiment parlé.

Un premier contentieux a eu lieu dès 2007, lors de l'affaire de l'Arche de Zoé. Rama Yade aurait alors affirmé avoir prévenu Rachida Dati, qui aurait laissé l'opération illégale se poursuivre. Puis il y a eu la course aux visites officielles à l'étranger où chacune aurait joué de ruse pour être du voyage avec Nicolas Sarkozy. Rachida Dati a notamment défrayé la chronique en novembre 2007, pour une supposée colère avant le départ en Chine ("Si Rama vient, je n'y vais pas"). Des mesquineries qui, ajoutées aux bourdes de l'une et au caractère frondeur de l'autre, finiront par faire tomber les sœurs ennemies avant même la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy.

Sans doute une "icône" de trop au gouvernement... Les premiers mois du quinquennat de Nicolas Sarkozy ont été marqués par une sérieuse rivalité entre Rama Yade et Rachida Dati. Le but selon les médias : être tout simplement "la préférée" du chef de l'Etat. Une banale histoire de jalousie qui aura alimenté les journaux en phrases assassines pendant près d'un an. C'est un fait, les deux femmes ne s'apprécient guère et ne se sont jamais vraiment parlé. Un premier contentieux a eu lieu dès 2007, lors de l'affaire de l'Arche de Zoé. Rama Yade aurait alors affirmé avoir prévenu Rachida Dati, qui aurait laissé l'opération illégale se poursuivre. Puis il y a eu la course aux visites officielles à l'étranger où chacune aurait joué de ruse pour être du voyage avec Nicolas Sarkozy. Rachida Dati a notamment défrayé la chronique en novembre 2007, pour une supposée colère avant le départ en Chine ("Si Rama vient, je n'y vais pas"). Des mesquineries qui, ajoutées aux bourdes de l'une et au caractère frondeur de l'autre, finiront par faire tomber les sœurs ennemies avant même la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy.
© Montage L'Internaute Magazine