Septembre 2016 : une mémoire "complètement défaillante"

La maladie de Jacques Chirac "ne recule jamais" © SIPA
C'est "très abattu" qu'un intime de Jacques Chirac livrait le 19 septembre 2016 au Parisien ces quelques commentaires : "On sent qu'il n'a plus trop envie de se battre. [...] Il se déplace en fauteuil roulant et a beaucoup maigri. Sa mémoire est complètement défaillante. Il vit vraiment au ralenti". Le constat est partagé par tous : les troubles neurologiques de Jacques Chirac n'ont fait que s’aggraver depuis ces 5 dernières années : "Sa maladie est un peu comme une vague qui monte. Il y a parfois un calme plat mais elle ne recule jamais", expliquait début septembre 2016 Jean-Louis Debré sur Europe 1.

"Troubler sa solitude"

L'ancien président du Conseil Constitutionnel avait ajouté sur RTL, lorsqu'on lui faisait remarquer que Jacques Chirac avait du mal à communiquer désormais : "Oui, mais le fait d'être présent, de le voir, de venir troubler, entre guillemets, sa solitude, c'est ma façon d'être son ami".
C'est "très abattu" qu'un intime de Jacques Chirac livrait le 19 septembre 2016 au Parisien ces quelques commentaires : "On sent qu'il n'a plus trop envie de se battre. [...] Il se déplace en fauteuil roulant et a beaucoup maigri. Sa mémoire est complètement défaillante. Il vit vraiment au ralenti". Le constat est partagé par tous : les troubles neurologiques de Jacques Chirac n'ont fait que s’aggraver depuis ces 5 dernières années : "Sa maladie est un peu comme une vague qui monte. Il y a parfois un calme plat mais elle ne recule jamais", expliquait début septembre 2016 Jean-Louis Debré sur Europe 1. "Troubler sa solitude" L'ancien président du Conseil Constitutionnel avait ajouté sur RTL, lorsqu'on lui faisait remarquer que Jacques Chirac avait du mal à communiquer désormais : "Oui, mais le fait d'être présent, de le voir, de venir troubler, entre guillemets, sa solitude, c'est ma façon d'être son ami".
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